Rappelez-vous, cette histoire avait un buzz terrible le mois dernier : des parents avaient décidé de prénommer leur fille Lara… alors que son nom de famille est… Clette. Ça faisait Lara Clette mais les parents le juraient : «  »On ne l’a pas fait exprès ».

Excédé par ce buzz, le papa vient d’entreprendre les démarches pour changer le nom de Lara. D’ici quelques semaines, oubliez donc Lara Clette. Ce sera Lara Deresteau. Heureusement qu’elle évite l’association des noms de famille car Lara Clette Deresteau, ce n’est pas la meilleure !

A notre grande surprise, on vient de découvrir de nouveaux fromages chez nos voisins suisses. On connaissait déjà « le reblochon de Suisse » mais pas encore « le reblochon léger » avec -40% de matière grasse ! Ce sont des fromages au lait pasteurisé et leur croûte orangée n’est pas dûe à un bon affinage mais à la présence de colorants : bêta-carotène et extrait de Paprika ! On vous avoue qu’on a même pas pris la peine de le goûter pour vous dire que ça n’a rien à voir avec un vrai reblochon fermier !

La Suisse négocie avec l’Union européenne afin d’ajouter une nouvelle annexe à l’accord agricole CH-UE de 1999 pour protéger les appellations d’origine contrôlée (AOC). Pour Genève, l’appellation «reblochon/reblochon de Savoie» pose problème car ce fromage est également produit dans leur canton. Le canton de Vaud a le même problème avec le Reblochon de Moudon.

Il faut savoir qu’historiquement, le reblochon est un fromage de Savoie né dans le massif des Aravis. La domination des ducs de Savoie pendant plusieurs siècles sur une bonne partie du Pays de Vaud et jusqu’aux portes de Genève explique que les reblochons français et suisses ont coexisté dans ces différents territoires, qui n’en formaient alors qu’un seul. Mais ces « reblochons de suisse » au lait pasteurisé vendu actuellement n’ont rien de comparable ! Mais le plus scandaleux est qu’il n’y a eu aucune remise en cause par la France de l’utilisation de la dénomination «reblochon» pour des fromages fabriqués en Suisse.

 

L’un des « reblochons de Suisse » les plus connus est celui fabriqué par la marque Jean-Louis du groupe LRG. Donc si vous voulez plus de renseignements sur ces « reblochons de Suisse » n’hésitez pas à leur demander directement en cliquant sur le lien suivant : http://www.jean-louis.ch/fr/contact ou par leur adresse mail : info@valdarve.ch

Bien malin celui qui saurait dire quelles sont les origines exactes des recettes fromagères de montagne.

La fondue vient-t-elle de Zurich ?

La raclette doit-t-elle vraiment son existence à des paysans valaisans qui aurait oublié une demi meule à côté d’un feu de bois ?

La tartiflette est-t-elle « vieille comme le monde » comme on le raconte du côté de Thônes ?

Toutes ces recettes sont-elles vraiment issues du monde paysan ou se plaît-on à le croire pour mieux les consommer ?

C’est un voyage entre France et Suisse que nous proposons.

Un voyage culinaire, historique, presque ethnographique. Un voyage à saute-mouton de part et d’autre de la frontière pour tenter de comprendre ce qui relève de la véracité historique et de l’invention marketing. Car indépendamment de telle ou telle recette à base de fromage (forcément fondu), la réputation et les histoires qui accompagne chacune de ces recettes sert avant tout le fait de vendre et de faire connaître le produit de chacune des régions dont ces recettes se réclame. Tout en racontant beaucoup sur les cultures locales.

Historiens, paysans, restaurateurs ou simples consommateurs, c’est avec eux et à travers eux que nous tenterons de démêler le vrai du faux. Une « enquête », des rencontres, pour montrer qu’une « belle histoire » peut parfois tordre le coup à la réalité. Mais aussi pour raconter que derrière des stratégies ou des hasards marketing, il reste encore et toujours des hommes attachés à des valeurs, à la défense d’un terroir et à une certaine conception des valeurs montagnardes.

C’est tout cela que nous découvrirons, « sur les traces de la fondue… et autres recettes fromagères ».

Voici en exclusivité internationale les premières images du prochain Indiana Diot tourné  à La Clusaz !

Il y a tout juste 30 ans, Namco sortait le jeu Pac-Man. Aujourd’hui, le jeune éditeur Dylan Neveux  reprend la relève avec le premier jeu compatible pour  l’iDiot : Rebloch’Man. Envoiedugros se devait de vous le présenter et le tester pour vous !

Le jeu consiste à déplacer Rebloch’Man, un personnage en forme de reblochon. Il doit manger des rebloch-gommes et des bonus (sous forme de diots et bouteilles de vin allant jusqu’à 5 000 points) dans un labyrinthe hanté par des monchus et doryphores. Quatre rebloch-gommes spéciales (super rebloch-gommes) rendent les monchus vulnérables pendant une courte période au cours de laquelle Rebloch’Man peut les transformer en diots. Le jeu comprend 73 labyrinthes différents.

Les notes :

Graphismes : 17/20 Les bonus sont à tomber par terre.

Jouabilité : 16/20 Aussi facile que de piquer des diots !

Durée de vie : 15/20 Un niveau de plus (soit 74 labyrinthes) pouvait être ajouté.

Bande son : 10/20 Ça manque un peu de chanson savoyarde !

Scénario : 19/20 Rien à redire !

Note générale : 16/20

Incontestablement, Rebloch’Man est bien le digne héritier de Pac’Man mais en plus savoyard !

Voici le troisième épisode de l’hiver moins salé, mais cette fois chez nos amis suisses. Durant la nuit de jeudi à vendredi, rue du temple à Genève, un chasse-neige s’est chargé de dégager les rues mais d’une façon plutôt inattendue !

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